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Onzième soirée de réseautage : rétrospective
26.06.2024 «Le facteur humain dans la transformation numérique» était le thème de la 11e soirée de réseautage Alumni BFH. Les 280 participant-e-s ont profité d'exposés d'input, d'un slam de poésie et d'un riche apéritif.
L'essentiel en bref
- 280 invité-e-s ont participé à la 11e soirée de réseautage au Bierhübeli de Berne.
- Sarah Dégallier Rochat, professeure à la BFH et responsable du champ thématique «La transformation numérique centrée sur l’humain», ainsi que les alumni de la BFH Tim Dorner et Lucas Renfer se sont exprimés sur le thème «Le facteur humain dans la transformation numérique».
- Un riche apéritif de réseau a offert suffisamment d'espace pour entretenir le réseau.
C'est par le mot «magnifique» que le président de l'association faîtière Alumni BFH, Ernst (Aschi) Hegg, a ouvert son discours en jetant un regard sur les quelque 280 invité-e-s présent-e-s à la soirée de réseautage de cette année. Jamais auparavant autant de participant-e-s ne s'étaient inscrit-e-s à cette manifestation : un succès total. Ernst (Aschi) Hegg a ensuite souligné l'importance de la mise en réseau, car c'est là que va le voyage dans de nombreux domaines : «Tout converge».
Sebastian Wörwag, recteur de la Haute école spécialisée bernoise, a ensuite introduit le thème de la soirée : L'homme dans la transformation numérique. La relation entre l'homme et la machine est en train d'être renégociée, a déclaré Wörwag en soulignant que la Haute école spécialisée bernoise s'engageait pour une utilisation responsable de la numérisation.
Habilitation de la main-d'œuvre
Sarah Dégallier Rochat a ensuite été la première oratrice de la soirée à prendre la parole. La professeure de la BFH et responsable du domaine thématique «La transformation numérique centrée sur l’humain» a montré dans sa présentation pourquoi l'homme reste le facteur de réussite le plus important pour les entreprises, même à l'époque de l'IA.
Selon elle, il est important d'autonomiser la main-d'œuvre grâce à l'automatisation, c'est-à-dire de créer une complémentarité entre l'homme et la machine qui permet non seulement une plus grande efficacité, mais aussi une plus grande flexibilité. En conclusion, elle a encouragé les entreprises à poursuivre cette approche et à se préparer en conséquence pour l'avenir.
Construire des ponts
Tim Dorner a ensuite discuté de la manière dont le personnel infirmier peut s'impliquer de manière significative dans les projets de numérisation. «Il s'agit de construire des ponts numériques», a-t-il souligné, en partageant son expérience des projets de numérisation au sein du groupe Lindenhof. Une approche bottom-up a fait ses preuves dans ce domaine. Une telle approche doit toutefois être accompagnée de près. La clé du succès est d'impliquer les spécialistes dès le début et de manière globale.
Trouver un bon équilibre
Le dernier intervenant de la soirée, Lucas Renfer, a donné un aperçu de sa start-up Auto-Mate Robotics, qui développe des robots capables de collaborer de manière flexible avec les humains. Il a souligné l'importance de connaître et d'utiliser les forces des hommes et des machines et de trouver un bon équilibre entre la technologie et la contribution humaine.
La soirée s'est terminée par un intermède musical de poetry slam des anciens étudiants de la HKB Marco Gurtner et Jan Dintheer, ainsi que par un riche apéritif de réseautage.